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1713 Les premières soeurs arrivent, s'installent et accueillent les premières filles à la rue du Château Bourlu ( actuellement le numéro 11 ).

Les activités pourront continuer pendant la Révolution française.

1830 Achat de deux maisons à la rue aux Gâdes, installation de classes primaires et d'un pensionnat.

1870 Ouverture d'une crèche-école gardienne pour les petits, en particulier pour les enfants d'ouvriers, sous le vocable de Crèche Marie-Louise ( épouse de Léopold Ier ) et sous le patronnage de la reine Marie-Henriette ( épouse de Léopold II ). Les écoles sont de deux types, gratuites et payantes ( pensionnat ).

1907 Création de trois écoles dans les faubourgs de Tournai, de Mons et de Bruxelles, offertes par M. Cambier, industriel important de la ville d'Ath ( meubles Cambier ). Ces écoles possèdent chacune une école gardienne et école primaire.

1914 On compte 900 élèves. La guerre de 14-18 amène des réfugiés, ce qui fait monter le nombre d'élèves à 1200. Cependant, les classes doivent évacuer et sont accueillies par la population de la ville. Tout rentre dans l'ordre après la guerre .

1942 Les classes des faubourgs et du centre de la ville sont regroupées sous une même direction : Soeur Marie Clémentine Desmet à l'époque.

1954-55 Le nombre d'élèves augmente. Il faut trouver de nouveaux locaux. Un vicaire quitte la Maison des Oeuvres où il habitait. Des classes peuvent s'installer dans les locaux à la rue de Pintamont.

1955-56 Un nouveau vicaire arrive et réoccupe la Maison des Oeuvres. Il faut à nouveau trouver des locaux. Des classes partent chaque jour à la rue du Mouton, à l'étage de la bibliothèque paroissiale.

1957 Avec Soeur Marie-Mathilde, directrice, un préfabriqué est construit rue de l'Industrie. Ces locaux sont inaugurés en janvier 1958.

1961-62 Il est encore nécessaire que des classes primaires s'installent au Lycée, rue de Pintamont.

1971-72 Incendie. I l faut réorganiser, occuper des classes primaires pour l'enseignement technique. Des classes sont hébergées à l'école St Joseph, rue des Ecriniers. Cet hébergement ne dure qu'une année scolaire.

1974-75 Dix nouvelles classes sont construites ; il y a partage entre le primaire et le technique. Lorsque le collège aura construit de nouveaux locaux, les filles du Lycée suivront les cours au Collège St Julien. Les locaux de la rue de Pintamont sont libres ; les sections techniques et professionnelles prennent de plus en plus d'extension. Les lois sur l'enseignement demandent que les classes d'une même section soient regroupées. Le technique occupe tous les locaux rue aux Gâdes, rue de l'Industrie et rue du Gouvernement. L'école maternelle et primaire ( le fondamental ) s'installe définitivement dans l'ancien Lycée.

Leysin

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